galatée
En attendant, le
cœur pieux,
L’improbable
déesse,
Pygmalion, la
nuit, caresse
Son chef-d’œuvre
avec les yeux.
Il rêve comme un
damné
Devant la froide
statue
Au doux sourire
qui tue,
Et avec des mots
fanés
Lui déclare sa
flamme
En l’appelant sa
femme
Et son véritable
amour,
Et attend, âme
maudite,
La défunte
Aphrodite
Jusqu’à l’aurore
du jour.
Par : Mohamed Yosri Ben Hemdène
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La Muse a commencé à soupirer le 08/04/2012. Poèmes publiés sur le Blog : 2175.
dimanche 27 mai 2018
Galatée
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