A un oiseau errant
Oiseau qui dans
l’azur passe
En chantant un
chant joyeux,
Vis-tu ma rêveuse
déesse,
Radieuse comme le
jour radieux ?
Sa peau est
blanche comme ton aile
Et sa voix est
douce comme ta voix,
Mon cœur épris
n’aime qu’elle ;
Ô, dis-lui, si tu
la vois,
Que chaque nuit,
songeant à ses charmes,
J’attends qu’elle
vienne à moi,
Que mes yeux sont
pleins de larmes
Et mon cœur est
plein d’émois !
En lui disant des
vers, j’erre
Appesanti par mes
souvenirs,
Comme toi dans
l’azur, sur Terre !
Je veux
l’embrasser et périr !
Chante-lui ce
poème
Si tu la vois sur
son balcon,
Et dis-lui que je
l’aime !
Va-t’en, messager
des rayons,
Jusqu’à sa demeure
qui rêve,
Et de son
bienheureux sommeil
Attends qu’enfin
elle se lève
Pour lui rappeler,
à son réveil,
Mes soupirs et ma
flamme !
Envole-toi et
reviens
Pour me dire si
son âme
De mon amour se
souvient !
Par: Mohamed Yosri Ben Hemdène
|
La Muse a commencé à soupirer le 08/04/2012. Poèmes publiés sur le Blog : 2180.
dimanche 17 juin 2012
A un oiseau errant
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Mon avis sur cet article: