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stances Dans la nuit lourde qui s’appesantit, Ta chevelure luit comme une étoile, Ta chevelure guide ma voile Et mon cœur loin du rivage parti Mon cœur que les malheurs et les plaisirs Ont abîmé, comme un fruit qui tombe De l’arbre épais qui lui sert de tombe, Dont tu es désormais le seul désir ! J’ai désiré des ports toujours trompeurs Et des mers qui ont été inclémentes, J’ai connu l’illusion qui tourmente Et j’ai connu le rêve qui fait peur, J’ai vu la peur croître dans mon esprit, La peur de l’inconnu qui brûle l’âme Et grandit comme une invincible flamme Au milieu de tout ce que l’on chérit ! Je te chéris comme les grands hasards, Comme la route sombre et la tempête, Erreur je veux seulement poser ma tête, Ma tête endolorie, sur ton regard ! Par : Mohamed Yosri Ben Hemdène |
La Muse a commencé à soupirer le 08/04/2012. Poèmes publiés sur le Blog : 2201.
samedi 6 décembre 2025
Stances
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