A une beauté passagère
Quand tu passes,
tu sembles bénir
Tous les mortels
qui t’adorent,
Et ton parfum,
comme un souvenir,
Dans les cœurs épris
demeure,
Quand tu souris,
tout rayonne
Comme s’il faisait
soudain jour,
Et ta beauté berce
et étonne
Les amoureux
emplis d’amour !
Hélène de ces
temps nouveaux,
Maints héros pour
toi soupirent,
Et maints rois, de
tes grâces dévots,
En te voyant
prennent des lyres
Et jettent leurs
sceptres inutiles,
S’évertuant à t’émouvoir,
Et toi, rêveuse et
tranquille,
Tu poursuis, sans
même les voir
Et sans les
entendre gémir,
Aussi radieuse que
belle,
Et sans jamais
nous revenir
Ta route sombre et
éternelle !
Par: Mohamed Yosri Ben Hemdène
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La Muse a commencé à soupirer le 08/04/2012. Poèmes publiés sur le Blog : 2180.
samedi 23 novembre 2013
A une beauté passagère
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