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parfum et mondes J’aime sentir ton parfum qui rêve Et m’emporte sous de nouveaux azurs, Ô toi dont le regard est doux et pur, Éphémère comme une vie qui s’achève, Douce comme la brise, profonde Comme les bois, fière comme la mer, Tableau vivant de tous mes êtres chers, Femme, symbole, déité et monde ! Tu règnes sur mes sens et mon âme, Tout en toi me fascine et tout m’éblouit, Le soleil rayonne quand tu reluis, Et quand tu me souris, mon cœur s’enflamme ! Je ne suis qu’une plaie de la terre, Large, ouverte, au sang vaste et généreux, Mes démons sont forts et ils sont nombreux Et tu es mon remède et ma prière ; Maintes fois, j’ai été las de vivre, Maintes fois, je me suis senti mourir, Et sur ton cœur j’ai cessé de souffrir, Dormant comme un enfant ou un homme ivre, Et souvent, j’ai volé sur tes ailes Vers des pays que je ne connais pas, À l’abri de la vie et du trépas, Consolé par tes amours éternelles ! Par : Mohamed Yosri Ben Hemdène |
La Muse a commencé à soupirer le 08/04/2012. Poèmes publiés sur le Blog : 2197.
vendredi 10 octobre 2025
Parfum et mondes
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