Bas, la brise Bas soufflait sur le monde Et remuait les ondes, Les idées et les esprits, Des rayons toujours surpris Et surpris par les choses, Voyant s'épanouir les roses, Portes pleines de parfums. Dans notre monde sans fin, Toujours semblable à lui-même, Il portait le diadème De l'éternelle douceur, Et il portait dans son cœur Des souhaits et des rêves. Le soleil qui se lève Est son radieux compagnon, Toujours surpris des rayons, Chéri de tous les êtres, Il ouvre les fenêtres Et il pousse doucement Les rideaux du firmament. Par : Mohamed Yosri Ben Hemdène |
La Muse a commencé à soupirer le 08/04/2012. Poèmes publiés sur le Blog : 2091.
vendredi 1 mars 2024
Bas, la Brise
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