engalkyn, corbeau de la lune Engalkyn, Corbeau de la Lune, Contemplait, dans la vaste nuit, Nos heurs et nos infortunes, Sous cet œil bleu et qui reluit. Il semblait compter les étoiles Qui peuplent le pays du ciel, Et voyait au-delà du voile Et plus loin que le réel ; Dans sa sagesse profonde, Il était auguste et songeur Et considérait le monde Comme on considère une fleur Qui s'épanouit et qui s'ouvre Telle la porte d'un palais Que la neige toujours couvre Et qui dans la montagne plaît, Et dans la paix sidérale Jamais Engalkyn ne bougeait, Car il aimait ce ciel pâle Qu'aucun mortel ne dérangeait. Par : Mohamed Yosri Ben Hemdène |
La Muse a commencé à soupirer le 08/04/2012. Poèmes publiés sur le Blog : 2194.
mardi 19 septembre 2023
Engalkyn, Corbeau de la Lune
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