enceraror, fantôme des cieux Enceraror, spectre des cieux, S'envolait dans le ciel radieux Avec la force de son âme, Pareil à une grande flamme Flamboyante comme un soleil. Il allait hanter le sommeil De tous les êtres célestes, Toujours alerte et toujours leste, Le ciel pur était son manoir, Qu'il fût bleu ou bien qu'il fût noir, La vaste nuit inhumaine Était son sombre domaine, Et tel un ténébreux démon, Il poussait, au-dessus des monts, Ses cris, et faisait entendre Son rire qui, comme une cendre, Pleuvait sur le monde tremblant. La création faisait semblant De tolérer son existence, Mais elle était sans défense. Par : Mohamed Yosri Ben Hemdène |
La Muse a commencé à soupirer le 08/04/2012. Poèmes publiés sur le Blog : 2194.
vendredi 22 septembre 2023
Enceraror, Fantôme des cieux
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