La vision d'abou-jahl Qu’il rassemble son conseil, et nous rassemblerons nos gardiens. (Coran, 96, 17-18) Abou-Jahl demanda à ses amis : « Mes frères, Est-ce que Mahomet fait toujours la prière Et souille devant vous son front empoussiéré ? » « Oui », lui répondit-on. « Par les dieux vénérés, Par Allat et Ouzza ! s’écria Abou-Jahl, Si je le vois prier, je lui ferai si mal, Qu’il ne priera plus ! Que Dieu vienne à son aide Quand j’écraserai son cou, avec un remède ! » Il voit le Prophète prier, et l’insensé Veut lui marcher sur le cou comme il l’a pensé. Or le voici qui s’en retourne, et risible, Repousse, effrayé, un ennemi invisible. « Qu’as-tu ? » lui demande-t-on. Il répond : « J’ai fui Quand j’ai vu ce qui me sépare de lui : Un fossé de feu, de la terreur et des ailes ! » Et le Prophète dit : « Si, poussé par son zèle, |
La Muse a commencé à soupirer le 08/04/2012. Poèmes publiés sur le Blog : 2194.
dimanche 24 janvier 2021
La vision d'Abou-Jahl
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