hallucinations
Comme un malade
pris de vertige,
Il m’arrive de
choir dans des néants
Emplis de palais
et de vestiges,
De grands rêves
et de souvenirs géants !
Il m’arrive de
voir mon propre être
Dans le miroir
de mon ciel intérieur,
Et sans que je n’en
sois le maître,
De le voir s’épanouir
comme une fleur ;
Dans le dédale
de ma propre vie,
Je marche en
contemplant avec effroi
Maintes vierges
par les monstres ravies,
Qui attendent
toutes leurs défunts rois,
Je vois des
musiques enchanteresses,
J’entends
briller des sourires sans fin,
Aussi doux que
de douces caresses,
Et je touche d’improbables
parfums,
Et tout cela me
ravit m’emporte
Vers de
lointains pays sans soleil
Dont la Nuit
vient ouvrir les grandes portes,
Et où l’on rêve,
aux poètes pareil.
Par : Mohamed Yosri Ben Hemdène
|
La Muse a commencé à soupirer le 08/04/2012. Poèmes publiés sur le Blog : 2194.
mardi 17 juillet 2018
Hallucinations
Publié par
Mohamed Yosri Ben Hemdène
à
22:38
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