La montagne, la mer
Quand on est sur
ce mont où se trouve le phare,
Il est bien doux
de contempler la mer,
Les chèvres et les
moutons que rien n’effare
Et qui errent
tranquillement dans les pâturages verts,
Le ciel serein et
bleu que le soleil éclaire,
Le grand océan qui
semble une ombre sous lui,
Calmes tous les
deux, sans violence et sans colère,
Qui bercent nos
regards éperdus et éblouis,
Les quelques
voiles qui font un mystérieux voyage
Sans qu’on ne
sache quelle est leur destination,
Et les rocs
attendris embrasser les feuillages
Et leur chanter
des vers avec adoration !
A nos pieds le
monde semble petit et vague
Et on entend, au
lieu des bruits que les hommes font,
Les soupirs
harmonieux des éternelles vagues,
Poétesses
tragiques qui chantent et qui vont,
Et des oiseaux, du
ciel agiles aèdes,
Les poétiques chants,
joyeux hymnes au bonheur,
Qui retentissent,
de nos maux divins remèdes,
Sans trembler des
houles et des hivers veneurs !
Par: Mohamed Yosri Ben Hemdène
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La Muse a commencé à soupirer le 08/04/2012. Poèmes publiés sur le Blog : 2166.
lundi 24 mars 2014
La montagne, la mer
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