Al-nadhour, le phare de tabarka
Ô, phare qui
reluit sur la montagne
Comme un flambeau
qu’un géant nous brandit,
Majestueux captif
dans son bagne,
Epié sombrement
par les flots bandits,
Es-tu, seul dans
ton roc solitaire
Et d’un antique
palais entouré,
Un roi ou un
philosophe ? Mystère
Qui ne cesse point
de nous attirer !
A tes pieds, le
havre blanc qui sommeille
Semble un enfant
dans son berceau pierreux,
Que le bois vert
et l’aurore vermeille
Bercent tous les
deux, doux et amoureux !
Tu montres la voie
aux errantes voiles
Tourmentées par la
nuit et par le vent,
Et tu es une
terrestre étoile
Qui observe notre
monde en rêvant
Et rayonne dans l’éternelle
ombre !
Ô, soleil
majestueux de la nuit
Qui éclaire les
immensités sombres
Et ramène au port
le marin qui fuit !
Par: Mohamed Yosri Ben Hemdène
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La Muse a commencé à soupirer le 08/04/2012. Poèmes publiés sur le Blog : 2166.
dimanche 23 mars 2014
Al-Nadhour, le Phare de Tarbarka
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