hacadeno, soldat du ciel Dans sa céleste demeure, Hacadeno était mû Par les forces supérieures Et par des vents inconnus. Son épée était grande Comme une ville, un pays, Sans attendre les offrandes, Il a toujours obéi Aux ordres les plus sombres, Aux arrêts les plus cruels, Il a plongé dans l'ombre Maints royaumes des mortels, Il a noyé le monde Sous des déluges sans fin, Il a envoyé les ondes Briser des orgueils défunts, Les tempêtes funestes Et les foudres terrifiants, Mais lui toujours il reste Toujours aux cieux, ce géant. Par : Mohamed Yosri Ben Hemdène |
La Muse a commencé à soupirer le 08/04/2012. Poèmes publiés sur le Blog : 2182.
vendredi 29 septembre 2023
Hacadeno, Soldat du Ciel
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