cronire, nomade des étoiles Cronire, Nomade des étoiles, Dans les espaces que l'ombre voile Errait, à lui-même toujours pareil, Confident de la lune et du soleil, Chercheur infatigable et intrépide, Aventurier et lecteur du vide, Ce grand livre qu'il feuilletait, ouvert, Qui contient l'énigme de l'univers. Il voyait, dans l'infini redoutable, Errer les monstres inéluctables, Des griffes, des ailes et aussi des dents, De sombres regards et des yeux ardents Qui reluisaient plus que des aurores Et mille choses plus terribles encore, Mais il ne demeurait à nul foyer Et il passait son temps à tutoyer Les entités et les grandes choses Dans l'espace épanoui comme une rose Qui jamais ne diminue, toujours croît, Comme un emblème et comme un effroi. Par : Mohamed Yosri Ben Hemdène |
La Muse a commencé à soupirer le 08/04/2012. Poèmes publiés sur le Blog : 2091.
vendredi 26 janvier 2024
Cronire, Nomade des étoiles
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