keryndap, fléau de l'océan Quand les marins disaient le nom De Keryndap, qui disait non À leurs ports et leurs étoiles, Ils tremblaient comme leurs voiles Qu'il dévorait comme un petit Un bonbon avec appétit. Caché au fond des abîmes Tel un secret ou un crime, C'était le spectre ténébreux Et qui hantait les flots nombreux Comme une pauvre maison vide Aux murs sales et humides ; C'était un monstre sans merci Contre les mortels endurci, C'était un cœur insensible, Les vaisseaux sont ses cibles, Sa proie est l'océan entier ; Quand on allait dans un sentier, Loin des écueils et des tempêtes, Il sortait des vers des poètes. Par : Mohamed Yosri Ben Hemdène |
La Muse a commencé à soupirer le 08/04/2012. Poèmes publiés sur le Blog : 2091.
samedi 14 octobre 2023
Keryndap, Fléau de l’océan
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