La fougue du bourak Gloire à Dieu, qui a transporté pendant la nuit son serviteur du temple sacré de la Mecque au temple lointain de Jérusalem, dont nous avons béni l’enceinte pour y laisser des marques de notre puissance. Dieu voit et entend. (Coran, 17, 1) « La nuit où j’émigrai au ciel, dit le Prophète, On fit venir pour moi le Bourak, belle bête Appesantie de sa selle et de son licol. Une fougue prenait toutefois le cheval, Tout son corps frémissait et s'agitait (peut-être Est-il resté longtemps après Jésus sans maître). Gabriel au Bourak que sa voix soumet Dit : “Tu oses faire cela à Mahomet ! Tu lui refuses ton dos, alors que nul autre N’est plus cher que lui au Seigneur, notre Maître !” Le cheval écouta ce que dit Gabriel, |
La Muse a commencé à soupirer le 08/04/2012. Poèmes publiés sur le Blog : 2194.
jeudi 23 septembre 2021
La fougue du Bourak
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Mon avis sur cet article: