Les serins et les fourmis Il n’y a point de bêtes sur la terre, ni d’oiseau volant de ses ailes, qui ne forment une communauté pareille à vous. Nous n’avons rien négligé dans le Livre. Toutes les créatures seront rassemblées un jour. (Coran, 6, 38) Abdoullah ibn Messaoud raconta : « Nous étions Avec le Prophète, moi et des compagnons, En voyage, quand loin des lieux où nous sommes Il s’en va faire ce que font tous les hommes. Nous voyons un serin avec ses deux petits Que nous prenons et qui nous mettent en appétit. La mère soudain vient, comme une mère humaine, Agiter ses ailes que la peur enchaîne. Le Prophète arrive et il nous dit : “Qui a pris Ses petits à cette mère poussant des cris ? Rendez-lui ses petits.” Une autre fois, on passe Près d’une colonie de fourmis, qu’on chasse En y mettant le feu. “Qui a donc fait cela ?”, Vient nous demander le Prophète. “Nous” “Voilà, Dit-il, sans aucun doute une action impure : |
La Muse a commencé à soupirer le 08/04/2012. Poèmes publiés sur le Blog : 2194.
dimanche 29 août 2021
Les serins et les fourmis
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