pharaon et l'ange gabriel Nous ouvrîmes aux Israélites un chemin à travers les eaux. Pharaon et son armée les poursuivirent les armes à la main. Ils furent engloutis dans la mer. Pharaon s’écria alors : Je crois qu’il n’y a de Dieu que le Dieu des Hébreux ; j’embrasse leur croyance. (Coran, 10, 90) Au lever du soleil, avec sa vaste armée, Pharaon suivit les tribus alarmées Du peuple d’Israël, qui était aux abois. On s’écria, voyant l’ennemi de la foi : « Tout est perdu, la mort nous attend ! » Moïse Resta calme, et d’une voix que rien ne brise : « Non, mon Dieu, dit-il, va me montrer le chemin. » Pharaon s’approchait et avec lui la fin. Dieu dit à Moïse : « Prends ton bâton et frappe La Mer Rouge, qui est de Pharaon la trappe. » Moïse frappa la mer. Grâce à l’Éternel, Les flots, comme des monts, s’élevaient jusqu’au ciel Et laissèrent passer le peuple d’Israël. Quand Pharaon se mit à les poursuivre Avec tous ses soldats, de sa colère ivre, Les ondes lentement se refermaient sur eux. Pharaon ne pouvait fuir son destin affreux ; Il s’écria, alors : « Je crois au Dieu unique Du peuple d’Israël ! » Et dans sa panique Ajouta : « J’ai la foi ! », voulant des flots sortir. Mais elle était passée, l’heure du repentir ! Gabriel le savait, et dans sa main sévère Prit un peu de boue, et pour le faire taire, La mit dans la bouche du tyran ancien |
La Muse a commencé à soupirer le 08/04/2012. Poèmes publiés sur le Blog : 2194.
mardi 20 avril 2021
Pharaon et l’ange Gabriel
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