CONTE: MARSI (PARTIE Ii)
II. Comment Marsi fut pris dans la garde royale, et
la promesse du roi
Marsi est dans une grande ville, le
soir,
Et il entend des cris de guerre, avant
de voir
De jeunes gens danser sur la place
publique
Autour d’une grande table métallique
Qu’appesantissent comme une aurore sans
fin
Plusieurs piles d’écus et des cruches de
vin.
Le nombre des jeunes soldats vite
augmente
Que ne peut alarmer la guerre alarmante,
Et ils sont recrutés et payés
sur-le-champ.
Le bon Marsi trouve tout cela alléchant,
Boit un verre, met un casque sur sa tête
Et de nouveau devient soldat. Ses armes
sont prêtes,
Il entre en campagne donc dès le
lendemain.
Grâce à sa belle taille et à ses grandes
mains,
A sa célérité et à ses deux poings
fermes
Et à son maniement merveilleux des
armes,
Dans la garde royale il est rapidement
pris,
Et a beaucoup d’ennemis, de son succès
surpris.
Le roi d’un ennemi puissant est la
cible,
Un anneau magique le rendait invincible,
Mais malheureusement il l’avait oublié.
Par l’armée de son ennemi il est humilié
Car elle est très vaillante, et surtout
plus nombreuse.
Pour sortir de cette situation affreuse,
Le roi déclara, sans l’anneau désespéré,
« En épousant ma fille il sera
honoré,
Celui qui est assez brave et assez
rapide
Pour me rapporter mon anneau aux cent
rides
Avant que le combat ne commence, et
avant
Que tout ne soit perdu comme une paille
au vent. »
[A SUIVRE]
Par : Mohamed Yosri Ben Hemdène
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La Muse a commencé à soupirer le 08/04/2012. Poèmes publiés sur le Blog : 2182.
mardi 15 août 2017
Conte: Marsi (Partie II)
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