Hymne à une beauté cachée
Ô, ma douce
bien-aimée !
Ouvre ta porte
fermée
Que caresse la
brise
Et où mes vers se
brisent
Comme les flots
sombres et plaintifs
Se brisent sur le
récif !
Devant ta porte
close,
Tels le parfum d’une
rose
Le vent emporte
doucement
Mes poèmes d’amour
charmants
Comme tu es
charmante,
Et l’hirondelle volante
Les chante au
Printemps épris,
Mais toi, tu n’as
point souri
A mon cœur qui t’adore !
Légère comme l’aurore,
Radieuse, pour
nous réveiller,
Dans le ciel de
ton foyer,
Chaque jour tu te
lèves,
Autour de toi tout
rêve
Et les oiseaux
chantent, pieux,
Tes charmes doux
et radieux !
Des hommes et de
la nature
Tu n’entends pas
les murmures,
Et rapide, sans
les voir,
En berçant le
monde noir,
Comme une foudre
tu passes,
De tous tes amants
lasse
Quand maints
poètes errants
Bénissent ton
amour tyran !
Par: Mohamed Yosri Ben Hemdène
|
La Muse a commencé à soupirer le 08/04/2012. Poèmes publiés sur le Blog : 2180.
jeudi 24 mai 2012
Hymne à une beauté cachée
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