promenade avec mon fils
Donne-moi ta
petite main, mon ange.
Comme toi le
ciel est souriant et beau,
Le rouge-gorge
est sur le fil à linge,
Le papillon
folâtre au fil de l’eau.
Le Soleil de son
sommeil se lève
En s’étirant et se
frottant les yeux,
Et moi je te
regarde et je rêve,
Car tu es plus
rayonnant et joyeux.
Viens avec moi,
mon fils au pied agile,
La nature est
aujourd’hui notre toit !
Ne marchons pas
sur les fleurs fragiles
Comme mon cœur
lorsque je pense à toi,
Courons ensemble
sur l’herbe verte
Et au-dessous de
ces nuages blancs,
Le ciel est
comme une fenêtre ouverte
D’où s’envolent
les pissenlits tremblants,
Toute la
Création, mon fils, t’espère,
Et le Printemps
te souhaite et t’attend,
Mais ils t’aiment
moins que ton père
Tout aussi
heureux que tu es content !
Allons dans les
bois, ils ne sont pas sombres,
Ils ne sont pas effrayants ;
les ruisseaux
Y chantent leurs
mélodies dans l’ombre,
Les arbustes
embrassent les arbrisseaux,
Les sapins disent
des choses aux chênes,
Aux herbes
sauvages dont les parfums
Sont des
langages que la langue humaine
Ne comprend pas,
sublimes et défunts !
Vois-tu,
toutefois, cette cabane morte,
Environnée de
nuit ? Fils, n’y va pas !
Si tu en ouvres
la petite porte
Tu seras dans le
monde de papa.
Par : Mohamed Yosri Ben Hemdène
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La Muse a commencé à soupirer le 08/04/2012. Poèmes publiés sur le Blog : 2194.
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dimanche 24 mars 2019
Promenade avec mon fils
lundi 7 janvier 2019
Le cœur de papa
le CŒUR de papa
Dans tes yeux
intelligents et beaux
Mon cœur reluit
ainsi qu’un flambeau,
Mon cœur que tu
tiens dans tes doigts candides
Et que ravit ton
sourire limpide
Comme un ciel
bleu empli d’un grand soleil !
Quand tu te
lèves de ton doux sommeil
Où tu dis de
mystérieuses choses,
Il me semble que
tes belles joues roses
Sont les pétales
que je vois s’ouvrir
D’une fleur qui
vient de s’épanouir ;
Ton sourire,
comme un ciel de décembre,
Eclaire soudain
toute la chambre,
Et ta voix m’emplit
de nouveau d’espoir,
Car mon bonheur
se résume à te voir.
Le cœur d’un
papa, c’est le cœur d’un père !
Même quand tu es
là, je t’espère,
Mon fils, et je
ne veux qu’un humble toit
Sous lequel il y
a ta maman et toi
Qui rayonnez d’une
ardeur commune,
Pareils au
soleil et à la lune.
Par : Mohamed Yosri Ben Hemdène
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