hymne à ma famille Quand tu ouvres les yeux, le soleil se lève Pour ton père qui te contemple et qui rêve Ô ciel qui m’appartient, ô ineffable azur, Ange innocent dont je chéris le regard pur ! Bien que nulle grâce ici-bas ne soit complète, Toi et ton frère, mes deux amours, vous l’êtes, Il me suffit, pour être heureux matin et soir, De vous voir aujourd’hui et demain vous revoir. Je n’oublie pas votre douce et radieuse mère Qui m’est un asile dans ce monde éphémère Et qui me rend plus fort, plus grand, plus amoureux, Et comme vous a fait de moi un homme heureux. Certains ont des trônes, moi j’ai une famille, Un toit, une épouse, un fils et une fille, Une lyre qui chante en ce monde cruel, Et c’est assez, car ces présents viennent du ciel. Par : Mohamed Yosri Ben Hemdène |
La Muse a commencé à soupirer le 08/04/2012. Poèmes publiés sur le Blog : 2186.
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