POINT DE VUE SUR les fées Jadis, la gentille fée Exauçait les vœux ardents Des voyageurs imprudents Et aux âmes assoiffées. Dans leurs mondes parallèles Les fées existaient sans fin, Le cœur et l’esprit sereins En remuant leurs ailes ; Au fond des eaux, sur les îles, Dans leurs foyers souterrains, Dans leurs palais tranquilles, À l’intérieur des collines, Elles étaient des refrains Que le soleil illumine. Par : Mohamed Yosri Ben Hemdène |
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