POINT DE VUE SUR les orages J’aime entendre la vie gronder À l’intérieur de ces orages Que l’homme n’ose point sonder, Quand il est prudent et sage. Le ciel met son habit de deuil, Pleure le printemps, les idylles, Et la nature est un écueil Dans l’océan de la ville, Soudain, après les sommeils verts, Tout est ivre de colère, Et on entend gémir l’hiver Qui vient avec ses froids anciens Et ses funèbres suaires Dont la création se souvient. Par : Mohamed Yosri Ben Hemdène |
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